Ma conviction est que le sport représente un espace d’échanges dans lequel on se doit de respecter la culture de chacun et donc de respecter le sportif musulman qui fait le ramadan.
La lecture de cet article peut intéresser les sportifs qui se posent des questions sur le ramadan, mais aussi des sportifs qui ne sont pas musulmans pour progresser dans la connaissance de l’autre.
Le « Ramadan » est un des cinq piliers de l’islam, avec « la profession de foi », « la prière », « l’aumône » et le « pèlerinage »
« Ce pilier de l’islam est un rappel à la droiture, à la charité. Il faut donc profiter de cette adoration afin d’être toujours dans le bon chemin. Et pour cela il faut jeûner ». Mais … que se passe-t-il quand on jeûne ? Comment notre corps réagit-il lorsqu’on arrête de s’alimenter ? Le sportif peut-il faire le ramadan et continuer à faire son sport voire même participer à des compétitions ? Il est essentiel de proposer des conseils dans le but de gérer les charges d’entraînements avec le principal souci de prévenir tout risque de lésion musculaire et/ou tendineuse si l’organisme ne disposait pas du carburant nécessaire (en qualité et en quantité) pendant les entraînements.
A la fin de cet article j’aborderai le cas du sportif soumis à des charges d’entraînement structurées, pour évoquer la nécessité d’une discussion interactive entre le staff, le sportif et le doc.