Cyclisme et mental, comment progresser au niveau du mental : mieux gérer le stress, maitriser la confiance, améliorer la concentration, mieux lire la course, comment mieux récupérer, comment améliorer le sommeil, comment préparer un objectif.

Cyclisme et mental, comment progresser au niveau du mental : mieux gérer le stress, maitriser la confiance, améliorer la concentration, mieux lire la course, comment mieux récupérer, comment améliorer le sommeil, comment préparer un objectif.

Sur ce site de conseils en médecine du sport et en nutrition du sport j’ai rédigé près de 500 articles, qui concernent les nombreux aspects de la performance mais aussi de la santé du sportif. Plus de 7 millions d’internautes ont déjà fréquenté ce site.

Sur un autre site j’ai mis en ligne de nombreuses séances de sophrologie, qui peuvent être téléchargées ; ces exercices de sophrologie pour le sportif permettent de découvrir cette technique de préparation mentale ; si un sportif semble tirer bénéfice de cette technique en ayant testé une séance sur ce site, alors il pourra se rapprocher d’un thérapeute à proximité de chez lui pour entreprendre un travail du mental plus personnalisé. Très souvent, à capacité physique et tactique égales, le mental fera la différence pour gagner une course.

Ce site de séances de sophrologie à télécharger:

https://www.seance-sophrologie.com/

Quel que soit le niveau sportif du coureur, une part non négligeable de la performance dépend des qualités mentales ; il n’y a pas besoin de faire remplir à un sportif des questionnaires de psychologie du sport pour s’apercevoir que bon nombre de victoires, tout comme de contre-performances sont liées à un facteur mental. De nombreux coureurs souhaitent progresser dans l’approche mentale de leur sport, mieux maîtriser le stress, et leurs questionnements sont fréquents : comment mieux gérer la course mentalement, bien gérer les émotions et l’énergie, comment lutter contre le stress qui fait louper le bon coup, comment éviter la peur de perdre ou la peur de gagner, comment retrouver le plaisir de courir quand on est confronté à une lassitude et un émoussement des sensations ; comment développer ses capacités de concentration sur la course, comment améliorer la lecture de la course pour bien jouer tactiquement, comment dépasser le seuil de la douleur physique et mentale.

Lors des périodes de blessures le coureur doute, il a l’impression de perdre du temps, de régresser ; alors que cette période d’inaptitude constitue un moment privilégié pour travailler d’autres aspects négligés du sport : les étirements, le gainage, la nutrition, et … le mental. J’ai enregistré quelques séances pour aider le sportif à gérer les périodes de blessures, d’inaptitude ; pour mieux revenir après une blessure.

Le sommeil est un des meilleurs outils de la récupération ; comment mieux dormir pour bien récupérer mais aussi comment améliorer la qualité du sommeil avant une course ? Sur ce site de séances de sophrologie le coureur trouvera des exercices simples pour améliorer le sommeil.

Le cycliste qui est soumis à de grosses charges d’entraînements et à un calendrier de compétitions rapprochées peut découvrir l’intérêt de la microsieste : je propose quelques séances qui permettent de faire la pose après le déjeuner, avec une séance de sophrologie pour récupérer, et accumuler de l’énergie.

L’asthme d’effort est une réalité dans les sports d’endurance,

Enfin, un travail est possible pour améliorer les réflexes, par exemple chez le sprinter.

Chaque cycliste pourra donc trouver un intérêt en fonction des difficultés qu’il rencontre, ou s’il ressent le besoin de progresser au niveau du mental. Le webmaster qui tient ce site propose un coût modique pour télécharger ces séances ; dans le but d’assurer le maintien du site.

Encore merci pour votre fidélité, bonne chance à vous tous,

Jean-Jacques

l’asthme d’effort est une réalité; comment détecter et soigner un asthme d’effort

Dans une réflexion axée sur la santé, OUI l’asthme d’effort est une réalité dans le sport ; pour en savoir plus :

 

Dans une réflexion axée sur la santé, il est clair et démontré que l’asthme d’effort est une réalité dans le sport.

Cet article ne saurait remplacer les conseils apportés par le médecin traitant du sportif.

Déjà, dans un premier temps, il faut mettre fin aux « fantasmes » entretenus par certains « observateurs » du milieu du sport, volontiers relayés par certains médias, et de façon générale par tous ceux qui pensent que prendre de la Ventoline c’est se doper, et que bien sûr tous les cyclistes prennent de la Ventoline pour améliorer leurs performances. Comment argumenter :

Sur des éléments scientifiques, ce que je vais développer dans ces 4 articles :

Mais aussi une réalité a été démontrée : la Ventoline n’augmente pas les performances, simplement elle permet à un sportif présentant un asthme d’effort de mieux respirer, et ainsi de diminuer les effets néfastes sur l’organisme de l’asthme. Un sportif non asthmatique qui prendrait de la Ventoline n’améliorerait pas ses performances.

Surtout, la Ventoline n’est autorisée QUE SI le taux retrouvé dans les urines est inférieur à un certain seuil ; si le taux dépasse ce seuil, le sportif est déclaré positif. En dessous de ce seuil, cela veut dire que le sportif prend de la Ventoline à une dose pour se soigner.

On traite un asthme avec du Salbutamol (= Ventoline, Airomir, et autres génériques), avec si besoin un corticoïde inhalé (les corticoïdes inhalés sont autorisés par les Instances) ; MAIS certains produits (la Terbutaline par exemple) nécessitent que le sportif sollicite auprès des Instances anti-dopage (par exemple l’AFLD en France) une « AUT » (= Autorisation pour Usage Thérapeutique) ; c’est au médecin ou au Pneumologue du sportif de savoir comment traiter le sportif, et de lui préciser la conduite à tenir par rapport à la réglementation. ATTENTION : cette réglementation peut évoluer, cet article ne se base QUE sur la réglementation anti-dopage connue ce jour, en mai 2016 ; au sportif de se renseigner ; le Code de l’AMA (Agence Mondiale Antidopage) précise bien que le sportif est responsable de TOUT ce qui entre dans son organisme.

 

Quels sont les facteurs qui peuvent déclencher un asthme d’effort chez un sportif :

-Une composante héréditaire ; lorsqu’on questionne le sportif on retrouve souvent d’autres membres de sa famille qui présentent un asthme, et/ou une allergie.

-Une allergie : pollens et/ou acariens et/ou graminées et/ou tous ces nombreux agents agressifs qui polluent notre intérieur : les « lingettes », les aérosols, les parfums d’ambiance, les diffuseurs de « bonnes » odeurs, les insecticides, l’encens, etc. Donc bien sûr il faut rechercher et prendre en charge l’allergie, avec un bilan, un traitement, mais AUSSI des mesures de bon sens ; par exemple pour lutter contre les acariens, lire cet article:

Allergies à la poussière et aux acariens

Et il faut aérer les pièces !!! et arrêter d’asperger son intérieur de « bonnes » odeurs ; arrêtons d’inonder nos sols de produits toxiques : le sol de notre cuisine n’est pas le sol d’un bloc opératoire ; attention aussi aux effets néfastes du tabagisme mais aussi du tabagisme passif.

-Au repos on ventile par minute un volume d’air d’environ 5 litres; pendant l’effort maximal le sportif peut ventiler jusqu’à 40 fois plus ; et donc il va respirer 40 fois plus de pollens, de polluants (fumées d’usine, gaz d’échappement, pollution en général), et donc sa bronche va s’enflammer, le calibre de la bronche se rétrécit, la bronche sécrète, et moins d’oxygène va parvenir aux muscles qui travaillent ; très vite les jambes « explosent », le sportif doit ralentir son effort.

-Un « RGO » = reflux gastro-œsophagien ; il faut TOUJOURS le rechercher (et donc si besoin le prendre en charge …); la nuit, et/ou pendant l’effort, un peu d’acide remonte de l’estomac vers l’œsophage et le pharynx, « retombe » dans les bronches, provoquant un spasme de la bronche.

-Une composante psychologique est parfois retrouvée; il me semble aussi qu’une prise en charge axée sur des techniques de respiration (je remets au sportif une vidéo avec des exercices respiratoires à effectuer plusieurs fois par semaine) et de relaxation ont leur place dans la prise en charge de l’asthme d’effort; c’est ainsi que sur un site je propose en téléchargement une séance de sophrologie pour améliorer l’asthme; si le sportif ressent un effet intéressant en écoutant cet exercice de sophrologie, alors il peut se rapprocher d’un professionnel de la santé à proximité de chez lui pour une prise en charge personnalisée. Voici donc, pour tester cette technique de sophrologie,  une Séance de sophrologie pour l’asthme

 

Le médecin du sport se doit de connaître la fréquence de l’asthme d’effort chez le sportif; à condition de le détecter: avec un interrogatoire adapté, un examen clinique, et la réalisation d’une spirométrie qui pour moi doit faire partie du bilan systématique chez le sportif.

Merci à tous pour votre fidélité sur ce site qui connecte à plus de 8000 internautes par jour, et qui a déjà regroupé plus de 7 millions de lecteurs depuis sa création.

Bien à vous,

Jean-Jacques