Sportifs : soyez pros !!! pensez à la prévention … plaidoyer d’un médecin de terrain…
Cet article juste pour mettre en place quelques réflexions sur le rôle du médecin du sport ; en restant tout à fait calme et tranquille, je ne peux m’empêcher de penser que le sportif qui a pour objectif de progresser n’est pas souvent assez « professionnel » dans sa démarche. Sur le terrain, au contact avec le milieu, je constate trop souvent que la prévention n’est pas la priorité… associer la prévention pour la santé et la performance: prévention santé sport: commentçamarche ?
Jean-Jacques Menuet,
–site de conseils en médecine et en nutrition du sport: http://www.medecinedusportconseils.com/
–site sur lequel sont mises en ligne des séances de sophrologie : http://www.seance-sophrologie.com/
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Il n’est pas absolument pas question de véhiculer l’idée qu’un sportif a besoin d’un médecin pour gagner : certainement pas et ceux qui me connaissent … connaissent mes limites; je parle de l’éthique sportive et médicale.
Mon expérience de près de 30 années (déjà …), dans tous les sports, m’amène à affirmer que le plus souvent auraient pu être évités : une blessure musculaire, une tendinite, un épisode de fatigue, une carence, des contre-performances, et tout simplement des problèmes de santé.
Dans les sports co combien de blessures et de périodes d’arrêt pourraient être évitées ou réduites … nutrition mal adaptée, absence de protocole minimal de récupération, blessures prises en charge trop tard, infections virales mal soignées, surpoids, perte de puissance au fur et à mesure que la saison progresse parce que le joueur perd de la masse musculaire (mauvaise récupération), problèmes de chaussage, de mycoses, pas de stratégies cadrées pour optimiser le sommeil, la récupération veineuse, etc.
Le médecin du sport, si bien sûr il doit s’attacher à gérer les (vraies) urgences, a surtout pour mission de faire de la prévention ; voici quelques exemples de terrain, que je relève quasiment tous les jours…
La plupart des crampes, blessures musculaires, tendinites, états de méforme, et contre-performances sont liées le plus souvent à l’ addition de PLUSIEURS facteurs :
—Des erreurs nutritionnelles : le sportif n’utilise pas le bon carburant (en qualité et/ou en quantité) avant, pendant, après l’effort ; et/ou il ne s’hydrate pas assez. C’est la vocation du nutritionniste du sport d’éduquer, dans un langage simple, adapté au terrain : les règles principales, les erreurs à éviter. Comment prétendre participer à un marathon si on ne s’est pas intéressé, 6 MOIS avant, à l’intérêt de la nutrition !!! Comment prétendre partir sur une compétition en climat chaud et humide si on ne s’est pas soucié des probables « dégâts collatéraux » qui seront liés aux pertes minérales et sudorales (sans parler de la prévention qui s’impose pour le risque de soucis digestifs avec la « tourista »)… Comment prétendre gagner au sprint une course cycliste si on se retrouve en hypoglycémie sur les dernières bornes, l’hypoglycémie est une faute professionnelle … Le sportif dont la nutrition est trop acide sera plus souvent victime de tendinopathies. Le sportif qui ne sait pas comment récupérer grâce à la nutrition risque plus souvent d’être victime de blessures musculaires. Le sportif qui ne sait pas comment gérer une sudation trop salée aura des crampes, il récupérera très mal après l’effort. Le sportif qui gère mal ses apports glucidiques et protidiques perdra de la puissance au fur et à mesure que la saison progresse.
—Des carences : il n’est pas admissible de dépister une carence en fer qui est présente depuis des mois, avec un état de méforme, et l’augmentation du risque de blessures. Le sportif est-il conscient que le fer sert au transport de l’oxygène et que fournir un effort d’endurance prolongé sans offrir d’oxygène pour brûler ses graisses et ses glucides c’est totalement délétère pour la santé !! lire http://www.medecinedusportconseils.com/2009/10/20/les-apports-de-fer-toxiques-utiles/ –> Le risque de cette carence en fer, particulièrement chez l’adolescent, est de créer un état de fatigue chronique, des troubles du sommeil des troubles de la mémoire. La carence en vitamine D est très fréquente et doit être complémentée. D’autres carences peuvent être notées: calcium etc; ou au contraire un taux d’acide urique élevé, ce qui va acidifier considérablement la cellule musculaire et tendineuse.
—Les nutritions spécifiques : le sportif végétarien, ou végétalien, le sportif qui « veut faire » du « sans gluten », le sportif en période de Ramadan, le sportif en surpoids, le sportif diabétique : doivent bénéficier de conseils adaptés.
—Trop de sportifs suivent des régimes « farfelus » pour perdre du poids, gèrent mal leur « calendrier » de poids pendant la saison.
—Les crampes chez le sportif: comment les prévenir, comment les soigner ? il est vrai que ça va plus vite de prescrire du magnésium et de l’Hexaquine que de mener un interrogatoire rigoureux pour rechercher la ou les causes des crampes … Lire http://www.medecinedusportconseils.com/2009/10/18/les-crampes/
—Combien de sportifs savent-ils que dans les sports d’endurance prolongée près de 50% des athlètes présentent un bronchospasme à l’effort, par « hyperréactivité bronchique » (asthme d’effort)… Ce n’est pas moi qui l’affirme, ce sont toutes les récentes études scientifiques. Courir, nager ou rouler avec des bronches qui souffrent c’est abîmer ses bronches, c’est délétère pour la santé.
lire http://www.medecinedusportconseils.com/tag/menuet-asthme/ et http://www.medecinedusportconseils.com/2013/07/20/asthme-ventoline-suspicion-dopage-performance/
–Combien de sportifs savent vraiment BIEN respirer pendant l’effort …. S’ils ne font pas l’acquisition d’un minimum de techniques respiratoires (au repos et à l’effort) l’oxygène manque à la cellule musculaire, les blessures arrivent; ces exercices, ça s’apprend, ça se travaille, et des kinés rompus à ces techniques apportent leurs connaissances; lire aussi : http://www.medecinedusportconseils.com/2013/09/08/comment-respirer-pendant-leffort/
—Combien de sportifs ont-ils conscience que les problèmes dentaires (infections, poussée de dents de sagesse, mal-occlusions, troubles de l’articulé dentaire) peuvent générer des tendinites, des blessures, une asymétrie du geste technique dans son sport.
—Combien de sportives ont-elles conscience que la spécificité du sport féminin devrait les amener à une vigilance sur leur nutrition (carence en fer plus fréquente ; conséquence pour le futur de carences d’apport en calcium : ostéoporose), évidence de la nécessité d’un suivi par un ou une gynécologue à l’écoute de la problématique des cycles menstruels, du suivi adapté d’une grossesse, de l’allaitement, etc. Des gynécologues expérimentés savent quelles solutions de terrain apporter (douleurs pelviennes, gestion du cycle, pilule adaptée, gérer les charges d’entraînements et de compétitions)
—Les allergies : elles sont beaucoup plus fréquentes qu’on ne le pense ; elles doivent être recherchées, documentées, traitées. Faire du sport avec un nez bouché, des yeux enflammés, des bronches qui sécrètent trop, c’est toxique pour la santé. Une allergie ça fatigue, ça perturbe le sommeil, et ensuite on se blesse, logique !! Lire entre autres articles: http://www.medecinedusportconseils.com/2012/11/28/allergies-poussiere-allergies-acariens-prevention/
—Soigner trop tard une infection, ou une blessure, expose à des complications ; à l’issue d’un épisode viral ORL ou bronchique ou digestif (une « gastro ») le risque de blessure est multiplié par 3 dans les 15 jours qui suivent ; parce que le virus a infiltré les cellules musculaires, parce que le sportif s’est déshydraté, parce que son organisme s’est “acidifié”, parce qu’il respire moins bien, parce que souvent il a mal dormi ; il n’y a pas de « petit » rhume, de « petite » angine : le sportif doit écouter ses sensations, adapter ses charges d’entraînements après une histoire virale. Trop de sportifs n’écoutent pas leur corps après une « simple » élongation, blessure qui peut évoluer vers un claquage si le sportif n’est pas vigilant. Les conséquences d’une atteinte virale digestive sont telles qu’il faut prendre en charge très vite le moindre “petit” coup de “gastro” Lire http://www.medecinedusportconseils.com/2010/01/13/gastroenterite-et-sport-attention/
–Les “technopathies” c’est à dire toutes les pathologies liées à un matériel inadapté ou mal réglé (vélo, raquette de tennis, chaussures de courses, chaussures de ville dont la semelle est moins épaisse qu’une feuille de papier, etc. etc.) ou une mauvaise position (vélo); voici un exemple pour le cyclisme avec un article de la Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique qui avait repris -il y a 10 ans déja … mon analyse de la prévention des pathologies chez le cycliste: http://www.sofcot.fr/03-espace-grand-public/publication/320.asp
–L’ hygiène de vie, le sommeil, lire entre autres articles de prévention http://www.medecinedusportconseils.com/2013/08/31/10-conseils-pour-mieux-dormir-pour-un-meilleur-sommeil/ ; également la qualité du chaussage, les étirements, la nécessité de protocoles d’échauffement et de retour au calme : combien de blessures en relation directe avec une mauvaise « éducation » du sportif… Combien de pathologies du genou (tendinites, arthroses, problèmes rotuliens) en relation directe avec des troubles podologiques qui n’ont pas été recherchés et donc pas été corrigés … Les soins à apporter aux pieds pour éviter les mycoses.
—La découverte d’une hypertension artérielle, de troubles du rythme cardiaque ; l’examen correct d’un rachis chez l’enfant et l’ado pour dépister à temps une scoliose avant qu’elle ne « flambe » en quelques mois pour se fixer définitivement…
—Un taux d’acidité trop important de l’organisme après l’effort: ça se mesure très facilement avec une bandelette urinaire et cela amène à énoncer des conseils spécifiques; en raison de ce taux d’acidité des sportifs sont volontiers sujets aux crampes, tendinites et blessures musculaires …
Loin de moi l’intention de dresser un sombre tableau du « comportement » du sportif, mais mon constat de terrain m’amène à faire prendre conscience de cette nécessité d’un suivi médico-sportif PREVENTIF assuré par des professionnels de la santé. En complément bien sûr de ce que font les entraîneurs et tous les acteurs de terrain, souvent bénévoles, dont le rôle est tout à fait remarquable et essentiel; et d’ailleurs sur le terrain on travaille ensemble: un problème de genou chez un cycliste ça se discute “au cul du camion” avec le coureur sur son home-traîner, le mécano, le directeur sportif; et très souvent c’est le mécano qui trouve la solution.
Le gouvernement va probablement supprimer le certificat de non-contrindication à la pratique du sport, ou l’espacer tous les 4 ans ; quelles conséquences en termes de santé …. On verra les dégâts… Notre combat de terrain n’a pas de poids contre la recherche d’économies sur le dos de la santé des concitoyens… Mais au final, c’est au sportif de choisir comment il veut être suivi, pour sa santé comme pour sa performance et son épanouissement dans son sport….
Le sport peut abîmer le corps, c’est une évidence.
Il faut conclure, pour résumer en énonçant ces deux règles qui à mon sens devraient s’imposer :
- « Sportifs, écoutez votre corps, respectez vos sensations, bénéficiez d’un suivi adapté à votre activité ; pour votre performance peut-être, mais avant tout pour votre santé »
- « Nous médecins : on ne trouve que ce qu’on cherche, alors passons du temps à :
1/ interroger,
2/ examiner,
3/ éduquer « nos » sportifs ;
4/ et travaillons en groupe pour que chacun apporte ses compétences » dans l’intérêt du sportif …
Avant de terminer cet article, j’évoque quand même la situation TROP fréquente du sportif qui se voit prescrire un médicament qui appartient à la liste des produits INTERDITS; non pas de la faute du médecin prescripteur qui n’est pas “obligé” de tout connaître, mais bon, il me semble très alarmant que des sportifs se voient prescrire des traitements pour l’asthme qui sont interdits (il existe des traitements autorisés pour l’asthme, encore faut-il connaître la réglementation, même si ça prend du temps …) , des soins avec des corticoïdes par voie générale ou locale qui sont interdits (seuls certains corticoïdes sont autorisés), etc etc; la plupart des cas de positivité aux contrôles anti-dopages proviennent d’erreurs de prescription; au sportif de veiller à annoncer au médecin qu’il est licencié dans une Fédération; au médecin aussi d’être vigilant …
Un autre de mes articles sur ma “conception” du rôle du médecin du sport:
http://www.medecinedusportconseils.com/2010/05/15/suivi-medico-sportif-du-sportif-de-haut-niveau/
Bonne saison 2014 à tous !! et merci pour votre fidélité sur ce site qui arrive à plus de 2,5 millions de connexions, merci !
Jean-Jacques Menuet,
–site de conseils en médecine et en nutrition du sport: http://www.medecinedusportconseils.com/
–site sur lequel sont mises en ligne des séances de sophrologie : http://www.seance-sophrologie.com/
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J’aime bien votre façon de brosser le sujet en effleurant tous les points faibles susceptibles d’approfondissement.
Je transfère à ma petite fille qui prépare les chts de France d’aviron et qui pourrait bien présenter une hyperréactivité bronchique.
Le problème c’est que son toubib de famille n’a pas inventé l’eau chaude.
Mais ça, nous n’y pouvons rien.
ok; je peux difficilement exposer la réalité qui consisterait à penser que le sportif est svt vite expédié, vite fait, pas de questions surtout sinon il faut répondre et ça prend du tps; et surtout ne retire pas le jean pour examniner le genou, ça va aller comme ça; mais bon, qq part je comprends les contraintes de médecins généralistes débordés, qui ont du mal à gérer, débordés par la spirale des charges, donc du chiffre, donc des charges …; après c’est aussi un choix d’exercice; mais au final c’est aussi au sportif de savoir où il souhaite se faire suivre. Vaste débat … cdlt, jjM
superbe article!!
Bonjour, je découvre votre site, formidable je trouve, et je vous remercie de votre dévouement envers le sport en général. Vu que l’on parle de prévention, je voulais en quelques mots exposé mon cas. Sportif régulier depuis 10 ans ( 28 today ) , en vtt, trail, multi en nature et montagne, j’ai déclaré des crises il y a maintenant 2ans 1/2 avec des douleurs céphalés aigus suivi de nombreux signaux d’alarmes ( troubles visuel, inversion de l’image, baisse de la tension, paleur, ) ainsi qu’une perte de 10kg en 6 mois, cette période correspondant à un moment de ma vie ou j’ai complètement arrété le sport, a cause d’une grosse surcharge et stress de travail ainsi que des travaux sur notre appart. Ca c’est soldé, vous imaginez, par un 1 mois et demi d’arrêt de travail avec toute une batterie de test, me lever pour prendre mon café était une épreuve, je dormais presque 15h/j, incapable de conduire. Diagnostic : RAS !!! rien d’anormal, les médecins on conclus : burn out. Moi qui ai ( d’aprés mon entourage ) un gros mental, me suis fais détruire par la pression et le stress. 2 mois aprés, j’ai rebondit, démission et surtout reprise d’activité physique réguliére. j’ai la chance d’avoir dans mon entourage un ami osteo-prepa physique semi-pro qui fais parti d’une équipe de multi que je ne citerai pas le nom ( on s’en fout ) .On a repris toute les notions depuis les bases, je ne reconnaissais plus mon corps, dosage de l’effort, echauffement, alimentation, … je suis repartit de 0. Au jour d’aujourd’hui, repris mon poids de forme ( 83kg ), arrive à tenir 8/10h d’entrainement /semaine en plus de mon taf ( j’ai monté ma petite entreprise de jardin, on est 5 ) . Juste pour dire, que sans suivi de mon prepa, je serais surement pas revenu a mon niveau actuel, je n’imagine pas pouvoir m’en séparer pour l’instant. Une derniére chose, peut etre que vous pourrez m’aiguillier : une chose que l’on est pas encore arrivé à résoudre, j’ai l’impression d’avoir une espéce d’intolérance au soleil ( lunette, … rien n’y fais ) est ce qu’il est possible que ce gros choc est altérer quelque chose de plus profond ??? ( endocrinien, thermorégulation, ?? ) En vous remerciant d’avoir pris le temps de me lire; Cdlt
bjr et un gd merci pour ce témoignage qui si besoin était prouve que l’activité physique agit parfois mieux qu’un bon psy et parfois même que des médicaments; la chance d’avoir croisé qqun qui a mouillé le maillot et vous a sorti de là; difficile de donner un avis sur le point précis que vous soulevez, l’hypersensibilité à la lumière; je suis de ceux qui pense qu’une expérience telle que vous l’avez vécue peut effectivement, pendant qq tps, générer des sensibilités particulières; j’aurais vraiment tendance à vous rassurer, je pense que progressivement cela devrait rentrer dans l’ordre; bien cdlt, jjM
bonjour Jean-Jacques, que pensez-vous des eaux fortes en magnésium comme l’hépar pour permettre d’éliminer ? Faut-il en boire ? à quels moments de la journée ?
par ailleurs, y-a-t-il un lien entre urine claire et taux d’acidité dans l’organisme ? Merci pour vos réponses et bravo pour votre blog. Isabelle
ok bjr; l’eau d’hépar ne peut pas représenter une eau à boire tout au long de la journée; mon conseil est de boire de l’eau du robinet, et d’y associer un peu d’eaux minérales, en changeant svt, en variant les apports; dans certaines situations particulières seul le médecin traitant peut orienter son patient; donc chaque situation est particulière; la présence de magnésium ds cette eau est interessante si la personne présnete une constipation, ou une carenvce en magnésium; ensuite la teneur en sulfates peut diminuer l’absorption du calcium; le PH est correct, non acide; je pense que boire un verre d’eau hépar tlj c’est correct; le double si soucis de transit; les urines claires traduident la dilution, pas l’acidité; il m’arrive fréquemment de conseiller l’analyse des urines avec une simple bandelette: acidité, concentration. cdlt, jjM
Bonjour Jean jaques,
Je vous remercie pour ce site, très intéressant. je suis entraineur de course à pied, c’est une mine d’or à ciel ouvert.
Je souhaiterais vous poser une question si vous le voulez bien.je pratique depuis 6mois un sport de combat (jiu jitsu brésilien ), récemment, pendant les combats au sol, en position de défense quand l’adversaire est sur moi, j’ai la sensation d’étouffer, sensation suivie de panique. une sensation très difficile à gérer, je suis dans l’obligation d’arrêter l’exercice. cela m’arrive uniquement pendant les combat au sol, je ne pense pas que c’est un problème physiologique (je fais d’autres sport dans les mêmes hautes intensités).je le relie probablement à du stress (diagnostiqué il y a 2mois) .pouvez-vous confirmer ou devrais-je chercher une autre cause?
bien sportivement et encore merci
bsr et merci pour la sympathie de ce msg; difficile de faire un diagnostic à distance mais bon, ça ressemble un peu à une réaction de panique; se méfier peut-être d’une réaction respiratoire allergique (caoutchouc)? bien cordialement, jjac
Bonjour
quel serait selon vous le bilan sanguin type d’un sportif pour un suivi en entrainement lors d’une période de montée en charge avec compétition, (type marathon, trail long… etc)?
en vous remerciant
bjr; il n’y a pas de bilan type; chaque sportif est différent, chaque dossier est différent; de nbx paramètres peuvent être prescrits, cela reste la décision du doc par rapport à tel ou tel dossier; cdlt, jjM
c’est vrai que les métiers du sport sont aussi exposés à de très nombreux risques psychologiques : voir dans : La prévention des risques professionnels dans les métiers du sport : http://www.officiel-prevention.com/formation/fiches-metier/detail_dossier_CHSCT.php?rub=89&ssrub=206&dossid=510
bjr; merci pour cette excellente synthèse; cdlt, jjM
Cet article est très intéressant ! Il y a quelques mois, j’ai commencé une activité physique nommée CrossFit : http://crossfit272.sporting-form.fr/
J’ai complètement été séduite par cette activité car on ne fait pas du sport pour faire du sport… Il y a une réelle hygiène de vie et un conditionnement physique à avoir.
Les cours se font en petit comité et nous sommes entourés de coach certifiés, j’écoute mon corps et j’ai vraiment amélioré ma façon de vivre depuis ! Je recommande à tous de l’essayer !